Le Grand Rocher : poudreuse de cinéma
Que de la peuf !
Depuis la neige a fondu et s’est écoulée sous les ponts. Mais ce samedi 4 decembre, c’est entre trente et quarante centimètres de neige de cinéma que nous avions. Dès le départ aux « Vincents », sous le col du Barioz, la journée s’annonce froide et belle comme l’hiver dont on rêve.
Clairière enneigée, clôtures contournées, forêts de sapins surchargés, avant de rejoindre l’itinéraire classique de la montée au Grand Rocher, nous apprécions ce décor hivernal. Arrivés au sommet, la vue à 360° de la chartreuse au tout proche massif des 7 Laux , nous donne plein de rêves pour nos prochaines sorties.
Mais la température autour de -10° nous incite à ne pas nous attarder sur le goût du casse croûte. Pour la descente nous optons pour la pente directe plein nord : 300 m de dénivelé dans une neige de rêve, presque vierge.
La suite c’est une forêt dense et tumultueuse où il faut s’inventer un itinéraire. mais avec quarante centimètres de fraîche, nous passons partout. Jusqu’à retrouver une bonne et large piste descendante (sous la liaison Pipay/foyer de fond du Barioz), puis notre itinéraire de montée. Bravo aux sept randonneurs qui ont bravé le froid pour goûter ce plaisir rare d’une bonne poudreuse. Tania, Gilbert, Robert, Bernard, Jean-Luc, Daniel, Alain